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Cessibilité des contrats laitiers La logique économique face à la crainte des dérives spéculatives

Répondant aux demandes de nombreux professionnels, de Jeunes Agriculteurs notamment, le Sénat et le gouvernement veulent légiférer pour interdire la cession onéreuse des contrats laitiers. Un déni de la réalité économique selon plusieurs économistes, qui montre également que la France a du mal à tourner la page des quotas. Extraits.

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(© Jeunes Agriculteurs)
 
Étienne Fourmont : « Il n'est plus tolérable que les industriels gèrent les volumes »

Éleveur laitier, Sarthe.

600 000 l sous contrat Bel. Adhérent de l'organisation des producteurs Bel Ouest et administrateur national de Jeunes Agriculteurs, en charge du dossier lait.

« Avec le syndicat des Jeunes Agriculteurs, je m'oppose fermement à la cession onéreuse des contrats laitiers. Depuis la fin des quotas, ce marché prend de l'ampleur de façon inquiétante. Ce système... »

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(©Jean-Marie Séronie) 


Jean-Marie Séronie :
 « Sortir enfin de la logique des quotas »

Agro-économiste indépendant.

« Je suis convaincu que les agriculteurs, individuellement et collectivement, ont intérêt à exiger la cessibilité des contrats laitiers. Premièrement, cela leur donne des marges de manœuvre pour... »

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(©Saf Agr'iDées







Jean-Baptiste Millard :
 « L'interdiction est un refus des réalités économiques »

Responsable gestion de l'entreprise agricole et territoires au sein du think tank Saf Agr'iDées.

« Interdire la cession à titre onéreux des contrats laitiers ne leur retirera pas la valeur économique que les éleveurs leur confèrent. (...) Plutôt qu'une interdiction pure et simple, pourquoi ne pas envisager... »

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